vendredi 3 mai 2013

Vrai voyance

À côté de lui, son épouse Agnès, d’une pâleur et d’une maigreur cadavériques, se mordait les lèvres jusqu’au sang , Toilettage paris, comme pour s’empêcher de hurler.
Appuyée contre son menhir de mari, elle semblait être sur le point de s’évanouir d’un instant à l’autre.
La pluie avait cessé. Le silence était pesant presque étouffant, voyante gratuite par mail, L’air devenait petit à petit irrespirable, même pour les vivants que nous étions. Le seul son qu’on pouvait parfois entendre provenait de Richard, lui-même.
Ou plus exactement de son visage. Sa peau craquelait comme une vieille poterie et poussait des couinements aigus.  Elle ne cessait de s’effriter n'est ce pas

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Même l’héritage non négligeable, laissé par ses parents il y a cinq ans, n’avait pas vraiment chamboulé cet ordre bien établi. Par instants, voyance gratuite, le corps calciné de l’homme était pris de spasmes violents comme s’il continuait de se consumer de l’intérieur, Le prêtre, imperturbable, continuait ses prières.
Je levai la tête et posai un regard circulaire sur l’assistance.
En face de moi et tout près du lit du mourant, se dressait un homme grand, aux larges épaules et au menton carré creusé d’une fossette. Alain, le frère de la victime. Tête droite, Voyance sérieuse par telephone, regard vide et visage monolithique, il semblait ailleurs. À quoi pensait-il ? À une partie de l’héritage qui lui reviendrait inévitablement ?

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tout n’était qu’horreur, silence et interrogation.L’homme qui s’accrochait pitoyablement à la vie n’était ni un homme politique redouté, Avenir amour, ni un de ses artistes adulés qui font la couverture de
Paris Match ou d’autres magazines. Richard Mander, puisqu’il s’appelait ainsi, n’était célèbre qu’au sein de sa famille et de ses amis. Connu de tous comme étant un bon mari et un bon père, il était directeur d’une petite , cabinet de voyance, assurance en plein Paris. « Une abeille travailleuse et anonyme dans ce vaste essaim qu’est notre planète », comme il se plaisait à le répéter. Elle n’avait rien de follement excitante, la vie de cette abeille.
Fuyant les casinos et pas cavaleur pour deux sous, Richard Mander , voyance gratuite mail, n’avait pour passe-temps que le jardinage et pour unique passion sa femme et sa fille de seize ans qu’il adorait par-dessus tout.
Bref, l’existence paisible d’un homme qui ne l’était pas moins.